Mickael est mort. Point. Comme il est dur de voir que tout peut finir en quelques minutes, secondes, lentes heures. Faut se faire une idée, voilà.
Je ne me lasse pas de cette ridicule chanson répétitive, pratiquement sans paroles, sans histoires, un rythme, une voix, un faux-semblant de techno-pop sympathique. Elle me fait planer, en boucle dès que je peux, elle me poursuit, exaspère mes proches qui doivent la supporter, mais tant pis, je l'aime tant.
Et les histoires ne prennent jamais fin, je déteste ce mot "fin", je le hais, je le repousse, lui crache à la figure, le trépigne énergiquement s'il faut, pourvu qu'il n'arrive jamais.
Je ne me lasse pas de cette ridicule chanson répétitive, pratiquement sans paroles, sans histoires, un rythme, une voix, un faux-semblant de techno-pop sympathique. Elle me fait planer, en boucle dès que je peux, elle me poursuit, exaspère mes proches qui doivent la supporter, mais tant pis, je l'aime tant.
Et les histoires ne prennent jamais fin, je déteste ce mot "fin", je le hais, je le repousse, lui crache à la figure, le trépigne énergiquement s'il faut, pourvu qu'il n'arrive jamais.
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