dimanche 27 avril 2008

Extrait 8



Maintenant que vient un bel et long été,
Ma chair, tes mignons petits bourrelets
Ne te sont plus d'aucune utilité.

Toutes ces filles en maillots de bain,
Avec leurs longues jambes sans fin,
Qui te font éternellement rêver,
Car tu n'es pas épilée.



Va montrer à ta mère,
Pour qu'elle y voit plus clair
Sur ton état désespéré
Et ta triste mentalité.



J'espère que de nos vers, on ne réveillera pas notre Papa,
Il n'y a aucun risque pour ça
Car en écoutant notre douce poésie
Notre famille au complet s'est endormie.



Ôde au kéké

Mon tendre kéké tu es foutu
Car de ton jardin tu as fais la rue
Désormais il faut que tu cesses
Des filles, de regarder les fesses
Maintenant stop ces regards
Qui ne vise que leurs nibards.
Avec ta musique à fond,
Tu te prends pour un champion
Tu n'es qu'en réalité
Qu'un pauvre demeuré
Désespérément, tu tentes encore
De passer pour le plus fort
Mais sais-tu ce que l'on dit,
D'un mec qui s'invente des amis ?
Tu n'es qu'à nos yeux lassés
Un déchet de l'Humanité.

Ps : Si Toi kéké tu lis cela
Peut-être vexé tu seras
Car nous t'avons enfin révéler
Ta véritable identité


[by Chaussette Sale* & Picbille*]

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est tout bonnement du grand art!!
C'est bien la poésie t'a conquise!
Ton talent me fous le cafard,
Et ma fois je n'en suis point surprise!
D'un tel élan de vérité venant de toi
Sur ces "douces" paroles je vais cueuillir les petits pois!